Cadence pour le concerto pour hautbois de Mozart
Hansjörg Schellenberger
Personnellement je trouve que sur ce sujet là, le titre en anglais, ça en jette.
En fait… C’est surtout plus court qu’en français. 🤣
En décembre 2022 j’avais enregistré sur le pouce avec mon Iphone mais avec les autres doigts quand même cette cadence de Hansjörg Schellenberger. Elle est encore disponible sur Soundcloud. Mais…peut-être plus pour très longtemps ! 😅 Je m’étais promis de recommencer plus proprement, du moins je veux dire avec de vrais micros. C’est chose faite. La prise de son est plus proche et plus détaillée je pense et au casque (comme d’habitude) ça rend assez bien.
En tout cas, le timbre, la sonorité, je crois que ça va de ce côté ! 😁
Avec un peu de chance, j’aurais peut-être l’occasion de l’enregistrer encore… Très prochainement… Avec un…. Nouvel ami ? 😁
J’ai réalisé moi même des cadences. D’ailleurs sur le blog, j’avais publié celle pour le mouvement lent du Quatuor KV370 de Mozart. Mais quand j’adore celle d’un artiste, à quoi bon ? Certes ce n’est pas là l’esprit du concertiste que l’on imagine à l’époque inventer voir improviser sa propre cadence mais je n’ai pas de problème d’égo et il faut bien que les dictées musicales de ma jeunesse servent à quelque chose d’utile. 🤣 Du coup j’ai plein de transcriptions dans mes cartons.
C’est en 1996 que j’avais transcrite cette cadence. Hanjörg Schellenberger l’utilise dans son disque consacré à Mozart, Bellini et Strauss, paru en 1990 chez Deutsche Grammophon. A l’époque il jouait un 901 Marigaux automatique en bois de violette & clétage doré. Une très belle sonorité qui m’a toujours attiré. C’était avant de partir pour un Royal toujours en bois de violette avec clé harmonique (2ème clé d’octave) malgré le système d’octaves automatiques et un Do# main gauche, parallèle au Fa.
Je sors un peu du sujet mais je dois dire que – on le sait tous – nos goûts évoluent. Et, si j’apprécie certains hautboïstes pour leurs interprétations mais que leur timbre me repousse parfois aujourd’hui, je confesse ici volontiers que les disques de Schellenberger gardent pour moi tout leur attrait et restent des modèles.
Alain et ses roseaux enchantés 